Berliner Boersenzeitung - Présidentielle: Jadot et Roussel près de se qualifier, Le Pen "très inquiète"

EUR -
AED 3.865828
AFN 72.422778
ALL 98.108937
AMD 414.015717
ANG 1.896222
AOA 960.276913
ARS 1069.600206
AUD 1.652006
AWG 1.89554
AZN 1.787933
BAM 1.954005
BBD 2.124428
BDT 125.73449
BGN 1.955108
BHD 0.396943
BIF 3109.613707
BMD 1.052493
BND 1.41089
BOB 7.270321
BRL 6.362107
BSD 1.052123
BTN 89.28213
BWP 14.276749
BYN 3.443304
BYR 20628.864623
BZD 2.120831
CAD 1.490993
CDF 3021.708013
CHF 0.929881
CLF 0.037189
CLP 1026.149315
CNY 7.633099
CNH 7.635518
COP 4597.816077
CRC 531.206942
CUC 1.052493
CUP 27.891067
CVE 110.162749
CZK 25.091543
DJF 187.36609
DKK 7.457937
DOP 63.710865
DZD 140.619704
EGP 53.098622
ERN 15.787396
ETB 133.548642
FJD 2.435261
FKP 0.830751
GBP 0.824476
GEL 2.944336
GGP 0.830751
GHS 15.519742
GIP 0.830751
GMD 75.779433
GNF 9074.577125
GTQ 8.109473
GYD 220.127772
HKD 8.18466
HNL 26.664251
HRK 7.507706
HTG 137.822076
HUF 410.154972
IDR 16739.481647
ILS 3.778615
IMP 0.830751
INR 89.280782
IQD 1378.333749
IRR 44309.959602
ISK 145.907109
JEP 0.830751
JMD 164.777057
JOD 0.74664
JPY 159.658468
KES 136.265673
KGS 91.356193
KHR 4237.067223
KMF 490.593315
KPW 947.243385
KRW 1507.401414
KWD 0.323684
KYD 0.876795
KZT 537.915826
LAK 23041.613149
LBP 94221.045557
LKR 305.386545
LRD 188.864699
LSL 18.792257
LTL 3.107738
LVL 0.636643
LYD 5.126242
MAD 10.52553
MDL 19.265118
MGA 4957.351566
MKD 61.544478
MMK 3418.456511
MNT 3576.371473
MOP 8.427957
MRU 41.827177
MUR 49.298892
MVR 16.206257
MWK 1824.489204
MXN 21.215635
MYR 4.659446
MZN 67.247086
NAD 18.792436
NGN 1660.107448
NIO 38.724057
NOK 11.741997
NPR 142.851408
NZD 1.817071
OMR 0.405202
PAB 1.052133
PEN 3.912905
PGK 4.255051
PHP 61.396159
PKR 292.553357
PLN 4.25768
PYG 8208.381114
QAR 3.83564
RON 4.970294
RSD 116.968829
RUB 108.459486
RWF 1465.140081
SAR 3.954962
SBD 8.808862
SCR 15.851712
SDG 633.076494
SEK 11.548333
SGD 1.412325
SHP 0.830751
SLE 23.995181
SLL 22070.258899
SOS 601.341844
SRD 37.052016
STD 21784.48205
SVC 9.206542
SYP 2644.420322
SZL 18.78956
THB 35.605977
TJS 11.468555
TMT 3.694251
TND 3.330209
TOP 2.465043
TRY 36.693383
TTD 7.140372
TWD 34.247601
TZS 2589.133048
UAH 43.859174
UGX 3852.460812
USD 1.052493
UYU 45.827464
UZS 13545.555935
VES 51.624704
VND 26707.012235
VUV 124.954095
WST 2.93813
XAF 655.348716
XAG 0.033097
XAU 0.000391
XCD 2.844415
XDR 0.798451
XOF 655.348716
XPF 119.331742
YER 263.517951
ZAR 18.748617
ZMK 9473.709374
ZMW 28.961119
ZWL 338.902347
  • AEX

    -1.3400

    893.42

    -0.15%

  • BEL20

    15.6500

    4246.24

    +0.37%

  • PX1

    -84.5200

    7394.78

    -1.13%

  • ISEQ

    63.9400

    9752.37

    +0.66%

  • OSEBX

    -7.7100

    1447.17

    -0.53%

  • PSI20

    -12.0700

    6342.97

    -0.19%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    -24.2300

    2967.46

    -0.81%

  • N150

    -3.3400

    3334.79

    -0.1%

Présidentielle: Jadot et Roussel près de se qualifier, Le Pen "très inquiète"
Présidentielle: Jadot et Roussel près de se qualifier, Le Pen "très inquiète"

Présidentielle: Jadot et Roussel près de se qualifier, Le Pen "très inquiète"

Les candidats de gauche, l'écologiste Yannick Jadot et le communiste Fabien Roussel, se sont rapprochés mardi du seuil des 500 parrainages d'élus nécessaires pour se présenter à la présidentielle, Marine Le Pen se disant elle "très inquiète" pour l'obtention des siens.

Taille du texte:

MM. Jadot et Roussel recueillent respectivement 450 et 492 parrainages, selon la liste publiée mardi par le Conseil Constitutionnel, qui voit la candidate de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud se qualifier pour la troisième fois à la présidentielle avec 509 signatures d'élus.

Les candidats doivent impérativement obtenir 500 parrainages d'élus d'ici le 4 mars pour pouvoir participer au scrutin du 10 avril.

Mais à 54 jours du premier tour, la recherche de ces sésames d'élus locaux s'est transformée en véritable course d'obstacles pour plusieurs candidats, comme Christiane Taubira, qui voient leur participation à la course de l'Elysée compromise.

Le "retrait" lundi du Parti radical de gauche (PRG) de la campagne de l'ancienne ministre de la Justice, qui a échoué à rassembler la gauche malgré sa victoire fin janvier à la Primaire populaire, pourrait être le coup de grâce pour une candidate qui stagne à 5% ou moins dans les intentions de vote.

Ses partisans réunis dans le collectif "Taubira pour 2022" sont "révoltés" et appellent à un rassemblement mercredi à 19h30 devant le Conseil constitutionnel.

Selon eux, l'ancienne Garde des Sceaux, qui a récolté à ce jour 73 parrainages, est "menacée de ne pouvoir se présenter à cause de l'action des partis qui s'opposent frontalement et violemment aux citoyens".

Lundi soir, Mme Taubira avait parlé d'"une péripétie dans un moment crucial pour le pays" mais une source proche de la candidate était moins optimiste: "On n'est pas sûrs d'être sur la ligne de départ le 4 mars". Et un appel aux maires va être lancé.

Parmi ceux déjà qualifiés, Emmanuel Macron, qui temporise sur l'annonce de sa candidature et comptait mardi 1.260 signatures validées, sa rivale de droite Valérie Pécresse (1.824) et la socialiste Anne Hidalgo (1.007).

Quant à Marine Le Pen (RN), qui en a récolté 274, elle s'est dite mardi "très inquiète pour l'obtention de mes 500 parrainages".

"Je serai probablement amenée à faire un appel directement aux maires car j'ai les plus vives inquiétudes", a-t-elle dit lors d'un déplacement dans l'Aisne en s'en prenant à l'"aide" apportée, selon elle, par les Républicains à Eric Zemmour.

L'ancien polémiste en a lui seulement 250 mais son entourage assurait mardi avoir "enregistré plus de 500 promesses". "Il faut que les maires comprennent bien que cette campagne a besoin d'un débat démocratique et loyal", a insisté son porte-parole Guillaume Peltier sur France 2.

- Sabotage -

Ce n'est pas le seul souci de Marine Le Pen. La candidate du Rassemblement national fait face à une série de défections vers son rival d'extrême droite, allant jusqu'à dénoncer une "campagne de sabotage" interne au parti.

Après le ralliement du sénateur RN Stéphane Ravier et d'autres élus à Eric Zemmour, un membre de la direction du parti, l'eurodéputé Nicolas Bay, envisage lui aussi de rejoindre l'ex-polémiste. Il a demandé mardi soir une "réunion du Bureau exécutif" qu'il juge "nécessaire, mais aussi urgente".

"Un certain nombre en réalité ont opéré de véritables campagnes de sabotage en interne, et ça c'est impardonnable", a estimé la candidate mardi parlant de "haute trahison" et de "limaces poisseuses".

Entretemps, Éric Zemmour qui selon un sondage Harris Interactive paru mardi dépasse Valérie Pécresse d'un demi-point à 14,5 %, a voulu se donner une dimension internationale, en faisant savoir mardi qu'il avait échangé la veille par téléphone avec l'ancien président américain Donald Trump.

Ce dernier lui a conseillé d'être "sincère". "Ca me paraissait intéressant de confronter nos regards" sur "les destins respectifs de la France et des États-Unis pris dans la tourmente d une même guerre de civilisations", a expliqué le candidat.

La déclaration de candidature d'Emmanuel Macron, confrontée à deux crises internationales avec l'Ukraine et le Mali, se fait elle toujours attendre.

Selon une source gouvernementale, il sera "compliqué" pour le chef de l'Etat d'être au Salon de l'agriculture, qui commence le samedi 26 février, "en n'étant pas encore candidat". "Mais il n'est pas impossible qu'il se déclare au salon", ajoute cette source, assurant que "tout est prêt pour les 15 premiers jours de la campagne, les déplacements et les mesures".

D'ici là, le Premier ministre Jean Castex a annoncé le lancement le 25 février d'une "grande campagne", incitant les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et à voter.

(Y.Yildiz--BBZ)