Berliner Boersenzeitung - JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

EUR -
AED 4.164523
AFN 78.988586
ALL 98.485642
AMD 435.657663
ANG 2.029183
AOA 1040.282773
ARS 1342.484707
AUD 1.765344
AWG 2.042303
AZN 1.930105
BAM 1.956525
BBD 2.288028
BDT 138.470112
BGN 1.957208
BHD 0.427428
BIF 3373.020681
BMD 1.133825
BND 1.462729
BOB 7.829765
BRL 6.436496
BSD 1.13321
BTN 96.999104
BWP 15.220508
BYN 3.708442
BYR 22222.976398
BZD 2.276224
CAD 1.565818
CDF 3248.40989
CHF 0.934119
CLF 0.027737
CLP 1064.492053
CNY 8.168416
CNH 8.159534
COP 4671.099565
CRC 575.708346
CUC 1.133825
CUP 30.046371
CVE 110.305892
CZK 24.913881
DJF 201.80104
DKK 7.458648
DOP 66.895389
DZD 149.842957
EGP 56.368358
ERN 17.00738
ETB 151.635739
FJD 2.565285
FKP 0.840674
GBP 0.841174
GEL 3.10646
GGP 0.840674
GHS 11.615101
GIP 0.840674
GMD 81.635322
GNF 9818.553292
GTQ 8.70315
GYD 237.092531
HKD 8.891929
HNL 29.524945
HRK 7.535968
HTG 148.193631
HUF 403.610073
IDR 18509.868528
ILS 3.973262
IMP 0.840674
INR 97.003402
IQD 1484.450308
IRR 47762.392235
ISK 144.199675
JEP 0.840674
JMD 180.636965
JOD 0.803915
JPY 163.011771
KES 146.456256
KGS 99.153393
KHR 4538.642515
KMF 492.653529
KPW 1020.443997
KRW 1562.989864
KWD 0.347903
KYD 0.944342
KZT 579.359668
LAK 24484.860964
LBP 101531.348275
LKR 339.382821
LRD 226.632017
LSL 20.292944
LTL 3.347892
LVL 0.68584
LYD 6.207301
MAD 10.4776
MDL 19.660115
MGA 5181.875298
MKD 61.553476
MMK 2380.664234
MNT 4055.567252
MOP 9.154413
MRU 44.795384
MUR 51.884139
MVR 17.529231
MWK 1964.945766
MXN 21.863882
MYR 4.826126
MZN 72.462643
NAD 20.293123
NGN 1801.341997
NIO 41.705093
NOK 11.53276
NPR 155.198166
NZD 1.902695
OMR 0.435962
PAB 1.1332
PEN 4.104786
PGK 4.65291
PHP 63.205656
PKR 319.469715
PLN 4.249407
PYG 9054.356589
QAR 4.130595
RON 5.060832
RSD 117.189922
RUB 88.999071
RWF 1602.680003
SAR 4.253753
SBD 9.468311
SCR 16.118838
SDG 680.860928
SEK 10.864155
SGD 1.463451
SHP 0.891009
SLE 25.760575
SLL 23775.750425
SOS 647.634376
SRD 42.185064
STD 23467.895073
SVC 9.915588
SYP 14741.680532
SZL 20.286342
THB 37.233123
TJS 11.332751
TMT 3.974058
TND 3.387756
TOP 2.655537
TRY 44.49221
TTD 7.694785
TWD 33.86507
TZS 3058.498762
UAH 47.07472
UGX 4119.490826
USD 1.133825
UYU 47.189367
UZS 14468.93811
VES 107.539392
VND 29530.480627
VUV 137.026643
WST 3.13727
XAF 656.188684
XAG 0.034271
XAU 0.000344
XCD 3.064219
XDR 0.816074
XOF 656.200263
XPF 119.331742
YER 276.483193
ZAR 20.289408
ZMK 10205.78172
ZMW 30.170653
ZWL 365.091293
  • AEX

    -0.9200

    923.34

    -0.1%

  • BEL20

    -4.5000

    4492.78

    -0.1%

  • PX1

    -21.0100

    7758.76

    -0.27%

  • ISEQ

    -59.6700

    11415.6

    -0.52%

  • OSEBX

    -3.2900

    1561.61

    -0.21%

  • PSI20

    27.2900

    7402.89

    +0.37%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    18.4200

    2650.48

    +0.7%

  • N150

    -5.0300

    3584.84

    -0.14%

JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos
JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

Retour sur les Jeux olympiques de Pékin, qui s'achèvent ce dimanche, en dix photos marquantes:

Taille du texte:

. Décor industriel. Des skieuses et des snowboardeurs qui tourbillonnent dans les airs dans un décor improbable dominé par d'imposantes cheminées d'usine, entre tours de refroidissement et hauts fourneaux : le site de Shougang, théâtre des épreuves de big air avec son tremplin géant installé au coeur d'une ancienne aciérie en pleine reconversion dans l'ouest de la capitale chinoise, a marqué les esprits.

. 100% neige artificielle. De longs rubans blancs serpentent dans le massif de pierres et d'arbres secs de Yanqing, site des épreuves de ski alpin mais vierge de neige naturelle, comme les montagnes de Zhangjiakou, artificiellement enneigées pour les épreuves de ski nordique et de freestyle. Pour la première fois, les Jeux de Pékin, organisés dans une région au climat semi-aride, ont reposé à 100% sur de la neige non naturelle. Même si le paysage s'est paré de blanc dimanche dernier, avec plusieurs centimètres tombés jusque sur Pékin.

. Recherche ferveur désespérément. A la différence des Jeux de Tokyo organisés à huis clos l'été dernier, ceux de Pékin ont accueilli quelques centaines de spectateurs - uniquement des résidents chinois dûment invités - dans les tribunes des différents sites de compétition. Mais au tout petit comité s'est ajouté l'absence de ferveur. A quelques frémissements près, quand la star locale Eileen Gu s'est offert l'or au half-pipe ou quand le couple chinois Sui Wenjing et Han Cong a été sacré en patinage artistique.

. Haut les masques. Les draconiennes mesures anti-Covid se sont immiscées jusque sur la patinoire de hockey sur glace. Faute des résultats des tests quotidiens des premières au coup d'envoi, hockeyeuses russes et canadiennes ont joué le match qui les opposait... avec des masques FFP2 sous leur grille de protection. "Il n'y a pas assez d'air, a déploré une joueuse russe. Ce n'est pas une sensation agréable."

. Gu, plutôt trois fois qu'une. A 18 ans, déjà star locale et icône publicitaire, Eileen Gu s'est montrée plus qu'à la hauteur de l'événement. L'ado californienne, père américain et mère chinoise, a collectionné trois médailles en autant d'épreuves de ski freestyle: deux en or, en big air et halfpipe, et une en argent, en slopestyle. Et sa communication, à l'image de ses conférences de presse fleuve, est aussi bien huilée que ses "runs" acrobatiques.

. Valieva, l'effondrement. Son visage encore enfantin était attendu sur la plus haute marche du podium olympique, à 15 ans seulement. Il a finalement été celui du feuilleton de la quinzaine (et au-delà), après l'annonce en pleins JO-2022 d'un contrôle antidopage positif fin décembre, l'autorisation reçue à la dernière minute du Tribunal arbitral du sport (TAS) de patiner en individuel, la première place après le programme court mais la quatrième seulement à l'issue du libre, et ses sanglots déchirants pas réconfortés par son entraîneure Eteri Tutberidze. "J'ai beaucoup souffert pour elle", a compati la nouvelle championne olympique et partenaire d'entraînement de Valieva, Anna Shcherbakova.

. Le biathlon dans le mille. Porté par Quentin Fillon Maillet, le biathlon français a participé pour moitié à la moisson tricolore. Des quatorze médailles remportées, sept, dont trois en or, viennent des biathlètes. "QFM" est impliqué dans cinq, deux en or (individuel et poursuite) et trois en argent (sprint, relais masculin et relais mixte). Justine Braisaz-Bouchet y a ajouté l'or de la mass start et Anaïs Chevalier-Bouchet l'argent de l'individuel. Jamais le biathlon bleu-blanc-rouge n'avait été autant en réussite, même à l'époque de Martin Fourcade.

. Hanyu, obsession quadruple Axel. A Pékin, Yuzuru Hanyu avait l'occasion de devenir le premier patineur depuis près d'un siècle à s'offrir trois sacres olympiques consécutifs. Mais la superstar japonaise n'avait qu'une obsession : réaliser un quadruple Axel, la quadruple rotation la plus complexe, encore jamais réussie en compétition et qui exige en fait de faire quatre tours et demi en l'air. Sa rotation a été incomplète et il a chuté, mais "j'ai eu la sensation que je n'en étais vraiment pas loin", a estimé "Yuzu", finalement quatrième. Son statut d'icône n'en a pas été affecté, comme en témoigne la légion de fans massés le long des barrières autour de la patinoire rien que pour l'apercevoir le jour du gala.

. Au coeur de l'action. Drôle d'atterrissage pour le Finlandais Jon Sallinen en qualifications du half-pipe. Le skieur a percuté un cadreur qui s'était penché pour filmer sa figure alors qu'il était en train de s'envoler au-dessus de la "demi-lune". "J'ai peut-être été un peu amorti par le caméraman, j'espère qu'il va bien, parce que j'ai atterri directement sur lui", a-t-il raconté. Avec une clavicule douloureuse, toutefois, il a terminé les qualifications à la dernière place.

. Pénurie de Bing Dwen Dwen. La mascotte en peluche des JO-2022, un panda souriant vêtu d'une combinaison de glace, s'arrache dans la bulle olympique comme en dehors. A Zhangjiakou, les plus matinaux ont mis la main sur un des rares exemplaires mis en vente ces derniers jours. "Avec l'ouverture des JO, je m'attendais évidemment à ce que des gens l'achètent mais pas à ce qu'il devienne aussi populaire du jour au lendemain. C'est devenu un phénomène", s'étonne son créateur Cao Xue.

(G.Gruner--BBZ)