Berliner Boersenzeitung - JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

EUR -
AED 4.177102
AFN 81.880903
ALL 99.252011
AMD 444.590659
ANG 2.049629
AOA 1037.159013
ARS 1294.140504
AUD 1.780172
AWG 2.047025
AZN 1.924196
BAM 1.956825
BBD 2.294803
BDT 138.092365
BGN 1.957857
BHD 0.428625
BIF 3332.101328
BMD 1.137236
BND 1.492134
BOB 7.854392
BRL 6.605294
BSD 1.136596
BTN 97.022843
BWP 15.66621
BYN 3.71968
BYR 22289.824581
BZD 2.282996
CAD 1.574122
CDF 3271.82803
CHF 0.930817
CLF 0.028662
CLP 1099.8893
CNY 8.304804
CNH 8.30607
COP 4901.486936
CRC 571.199327
CUC 1.137236
CUP 30.136753
CVE 110.769688
CZK 25.063091
DJF 202.109678
DKK 7.466602
DOP 68.782769
DZD 150.758843
EGP 58.143348
ERN 17.058539
ETB 151.279275
FJD 2.597107
FKP 0.857926
GBP 0.857288
GEL 3.115658
GGP 0.857926
GHS 17.695457
GIP 0.857926
GMD 81.31264
GNF 9843.341747
GTQ 8.754588
GYD 238.429138
HKD 8.82913
HNL 29.46444
HRK 7.520772
HTG 148.317723
HUF 408.387101
IDR 19177.096068
ILS 4.192295
IMP 0.857926
INR 97.094362
IQD 1489.779092
IRR 47906.064319
ISK 145.100116
JEP 0.857926
JMD 179.644139
JOD 0.806644
JPY 161.924773
KES 147.274608
KGS 99.205075
KHR 4566.00227
KMF 492.994531
KPW 1023.518647
KRW 1613.043697
KWD 0.348711
KYD 0.947196
KZT 594.971784
LAK 24598.4135
LBP 101896.341087
LKR 339.937138
LRD 227.418743
LSL 21.444738
LTL 3.357962
LVL 0.687902
LYD 6.220334
MAD 10.54785
MDL 19.662304
MGA 5177.713287
MKD 61.514233
MMK 2387.530139
MNT 4022.532693
MOP 9.086962
MRU 44.847502
MUR 51.277517
MVR 17.521555
MWK 1974.241196
MXN 22.425622
MYR 5.012366
MZN 72.675079
NAD 21.444738
NGN 1824.927675
NIO 41.821916
NOK 11.909658
NPR 155.236349
NZD 1.90379
OMR 0.437833
PAB 1.136596
PEN 4.279391
PGK 4.700463
PHP 64.495494
PKR 319.112254
PLN 4.278742
PYG 9097.767521
QAR 4.140221
RON 4.978932
RSD 117.291464
RUB 93.451578
RWF 1609.188866
SAR 4.267179
SBD 9.516785
SCR 16.196165
SDG 682.910009
SEK 10.940516
SGD 1.490626
SHP 0.893689
SLE 25.900529
SLL 23847.250746
SOS 649.92618
SRD 42.248244
STD 23538.488054
SVC 9.945212
SYP 14786.663141
SZL 21.402561
THB 37.923435
TJS 12.206811
TMT 3.980326
TND 3.398022
TOP 2.663523
TRY 43.238621
TTD 7.712041
TWD 36.987465
TZS 3056.320649
UAH 47.101683
UGX 4166.329832
USD 1.137236
UYU 47.664978
UZS 14768.739292
VES 91.955341
VND 29420.293975
VUV 138.799625
WST 3.16989
XAF 656.312471
XAG 0.034867
XAU 0.000342
XCD 3.073437
XDR 0.816192
XOF 653.910916
XPF 119.331742
YER 278.907189
ZAR 21.404943
ZMK 10236.489754
ZMW 32.36396
ZWL 366.189511
  • AEX

    -1.3700

    852.2

    -0.16%

  • BEL20

    -3.3600

    4197.65

    -0.08%

  • PX1

    -43.9800

    7285.86

    -0.6%

  • ISEQ

    -177.5500

    9967.91

    -1.75%

  • OSEBX

    0.7200

    1447.47

    +0.05%

  • PSI20

    -10.1200

    6735.84

    -0.15%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    3.1800

    2654.25

    +0.12%

  • N150

    5.1900

    3250.59

    +0.16%

JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos
JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

JO-2022: les Jeux de Pékin en dix photos

Retour sur les Jeux olympiques de Pékin, qui s'achèvent ce dimanche, en dix photos marquantes:

Taille du texte:

. Décor industriel. Des skieuses et des snowboardeurs qui tourbillonnent dans les airs dans un décor improbable dominé par d'imposantes cheminées d'usine, entre tours de refroidissement et hauts fourneaux : le site de Shougang, théâtre des épreuves de big air avec son tremplin géant installé au coeur d'une ancienne aciérie en pleine reconversion dans l'ouest de la capitale chinoise, a marqué les esprits.

. 100% neige artificielle. De longs rubans blancs serpentent dans le massif de pierres et d'arbres secs de Yanqing, site des épreuves de ski alpin mais vierge de neige naturelle, comme les montagnes de Zhangjiakou, artificiellement enneigées pour les épreuves de ski nordique et de freestyle. Pour la première fois, les Jeux de Pékin, organisés dans une région au climat semi-aride, ont reposé à 100% sur de la neige non naturelle. Même si le paysage s'est paré de blanc dimanche dernier, avec plusieurs centimètres tombés jusque sur Pékin.

. Recherche ferveur désespérément. A la différence des Jeux de Tokyo organisés à huis clos l'été dernier, ceux de Pékin ont accueilli quelques centaines de spectateurs - uniquement des résidents chinois dûment invités - dans les tribunes des différents sites de compétition. Mais au tout petit comité s'est ajouté l'absence de ferveur. A quelques frémissements près, quand la star locale Eileen Gu s'est offert l'or au half-pipe ou quand le couple chinois Sui Wenjing et Han Cong a été sacré en patinage artistique.

. Haut les masques. Les draconiennes mesures anti-Covid se sont immiscées jusque sur la patinoire de hockey sur glace. Faute des résultats des tests quotidiens des premières au coup d'envoi, hockeyeuses russes et canadiennes ont joué le match qui les opposait... avec des masques FFP2 sous leur grille de protection. "Il n'y a pas assez d'air, a déploré une joueuse russe. Ce n'est pas une sensation agréable."

. Gu, plutôt trois fois qu'une. A 18 ans, déjà star locale et icône publicitaire, Eileen Gu s'est montrée plus qu'à la hauteur de l'événement. L'ado californienne, père américain et mère chinoise, a collectionné trois médailles en autant d'épreuves de ski freestyle: deux en or, en big air et halfpipe, et une en argent, en slopestyle. Et sa communication, à l'image de ses conférences de presse fleuve, est aussi bien huilée que ses "runs" acrobatiques.

. Valieva, l'effondrement. Son visage encore enfantin était attendu sur la plus haute marche du podium olympique, à 15 ans seulement. Il a finalement été celui du feuilleton de la quinzaine (et au-delà), après l'annonce en pleins JO-2022 d'un contrôle antidopage positif fin décembre, l'autorisation reçue à la dernière minute du Tribunal arbitral du sport (TAS) de patiner en individuel, la première place après le programme court mais la quatrième seulement à l'issue du libre, et ses sanglots déchirants pas réconfortés par son entraîneure Eteri Tutberidze. "J'ai beaucoup souffert pour elle", a compati la nouvelle championne olympique et partenaire d'entraînement de Valieva, Anna Shcherbakova.

. Le biathlon dans le mille. Porté par Quentin Fillon Maillet, le biathlon français a participé pour moitié à la moisson tricolore. Des quatorze médailles remportées, sept, dont trois en or, viennent des biathlètes. "QFM" est impliqué dans cinq, deux en or (individuel et poursuite) et trois en argent (sprint, relais masculin et relais mixte). Justine Braisaz-Bouchet y a ajouté l'or de la mass start et Anaïs Chevalier-Bouchet l'argent de l'individuel. Jamais le biathlon bleu-blanc-rouge n'avait été autant en réussite, même à l'époque de Martin Fourcade.

. Hanyu, obsession quadruple Axel. A Pékin, Yuzuru Hanyu avait l'occasion de devenir le premier patineur depuis près d'un siècle à s'offrir trois sacres olympiques consécutifs. Mais la superstar japonaise n'avait qu'une obsession : réaliser un quadruple Axel, la quadruple rotation la plus complexe, encore jamais réussie en compétition et qui exige en fait de faire quatre tours et demi en l'air. Sa rotation a été incomplète et il a chuté, mais "j'ai eu la sensation que je n'en étais vraiment pas loin", a estimé "Yuzu", finalement quatrième. Son statut d'icône n'en a pas été affecté, comme en témoigne la légion de fans massés le long des barrières autour de la patinoire rien que pour l'apercevoir le jour du gala.

. Au coeur de l'action. Drôle d'atterrissage pour le Finlandais Jon Sallinen en qualifications du half-pipe. Le skieur a percuté un cadreur qui s'était penché pour filmer sa figure alors qu'il était en train de s'envoler au-dessus de la "demi-lune". "J'ai peut-être été un peu amorti par le caméraman, j'espère qu'il va bien, parce que j'ai atterri directement sur lui", a-t-il raconté. Avec une clavicule douloureuse, toutefois, il a terminé les qualifications à la dernière place.

. Pénurie de Bing Dwen Dwen. La mascotte en peluche des JO-2022, un panda souriant vêtu d'une combinaison de glace, s'arrache dans la bulle olympique comme en dehors. A Zhangjiakou, les plus matinaux ont mis la main sur un des rares exemplaires mis en vente ces derniers jours. "Avec l'ouverture des JO, je m'attendais évidemment à ce que des gens l'achètent mais pas à ce qu'il devienne aussi populaire du jour au lendemain. C'est devenu un phénomène", s'étonne son créateur Cao Xue.

(G.Gruner--BBZ)